Mère GAYA de ta source, mes larmes touchèrent ton coeur, et de cet enfant égaré que j'étais dans ce plan ou l'humain grandissait, tu en fis, ton enfant.
Je fus élevé dans les forêts de ton petit peuple, et les nymphes furent mes gouvernantes, espiègles mais aimantes.
Me voici maintenant devant la port de l'oubli, je vais la franchir car telle est ta volonté. Tes symboles sont en moi, et bientôt je viendrais dans la crypte de tes pretresses pour recevoir la lumière du cristal.
Maintenant je pars vers ma route, et ma vie.
Mère GAYA je t'aime