Hommage a Korn Frost

Au matin, elle avait revêtu sa robe blanche sa ceinture noir et sa cape
Elle pris un livre avec elle le mit dans sa besace et partit pour la Clairière
La brume noyait l’Île... elle ce sentait en sécurité
Une fois arrivée, elle rassembla du bois sec et prépara le feu
Elle voulait commencé la cérémonie au levé du soleil
Gentiment les petits Êtres arrivèrent et ce rassemblaient autour d'elle pour la soutenir
Elle avait un noeux dans la gorge
Il lui manquais horriblement
Dire qu'elle aurait du faire une grande fête de mariage
Au lieu de ça... c'était une cérémonie d'adieu...

Le soleil pénétra dans la clairière mais tout le pourtour restait dans la brume
a croire que même l’Île ce joignait a eux...

Phyla ce releva résignée
Elle alluma le feu
Les petits êtres ce mirent en rond autour d'elle et le feu
Phyla commenca

Accordez nous Grande Mère, votre protection
Et avec votre protection, la force
Et avec la force, la compréhension
Et avec la compréhension, le savoir
Et avec le savoir, le sens de la justice
Et avec le sens de la justice, l’Amour
Et avec l’Amour, celui de toutes les formes de vie
Et dans l’amour de toutes forme de vie
L’Amour de vous !

Puis elle pensa au paroles de la grande prêtresse

Les defuns entament le voyage vers l'autre rive pour rejoindre la déesse, notre grande mère.
La roue de leurs vies ce sont arrêtés, mais nous savons que la mort n'est pas la fin.
La vie est un cycle, la mort en fait partie, elle est inévitable, c'est notre compagnon le plus fidèle.
Nous connaissons et reconnaissons la déesse sous ses visages de vierge, de mère et de vieille femme, Cerridwen, celle qui coupe le fil de la vie à la fin.
Les morts ne sont pas rayée de la vie; nous savons qu'ils reviennent accomplir ce qu'ils n'ont pas pu accompli lors de ce passage trop court.
Certains mettent toute une vie avant d'arriver à la paix intérieure, à l'harmonie de l'âme.

Korn, mon doux mon aimé... ma montagne
Je ne peux imaginé que tu me laisse seul
Je ne veux pas l'imaginé, ni le vivre...
Une montagne ne meure pas
Elle explose, mais ne s'affaisse pas...
Tu vas rester là dans mon cœur et en ses lieux
C'est ici ta place
Ici que tu vivra pour toujours
Ici que je te retrouverai

Elle enleva son collier et le déposa au milieu du feu

Je crois en la paix et Tu es la paix
Je crois en la justice et Tu es la justice
Je crois en l'amour et Tu es l'amour

Les petits êtres a leur tour déposèrent des fleurs dans le feu

Grande Déesse qui réside à l’intérieur et autour de moi,
Déesse de la Lune scintillante et de la Terre féconde,
Déesse du paradis étoilé et matrice infinie,
Déesse de qui procède un flot de bénédictions,
Bénis ton enfant.

Phyla tomba a genoux devant le feu
Et resta immobile jusqu'a ce que le feu soit étain...