Ostara

Novice Nombre de messages : 138 Date d'inscription : 15/05/2008

Attentive à tout ce qui se passait, Elinor s'imprégnait de la magie de l'instant, un jour peut-être, elle aurait à reproduire les mêmes gestes, elle devrait chanter les même chants, et accueillir de nouvelles novices comme elle aujourd'hui.

Maïa somnolait contre son sein lorsque la grande prêtresse les invita à planter une graine, symbole de renouveau. Elle s'avança comme les autres et pris dans sa main délicate, le petit morceau de vie en sommeil qui ne demandait qu'à être nourris, par l'effet conjugué de la terre nourricière, de l'eau du ciel et la chaleur aimante de Lugh pour croître et s'épanouir. Chaque être vivant sur cette terre avait besoin de ces trois éléments ... Un regard vers sa fille, saurait-elle lui apporter tout cela?

Retenant sa fille d'une main, elle enfonça délicatement la graine dans la terre meuble du petit sillon qui avait été creusé et croisa le regard d'Yvonne les yeux emplis de gratitude.

Elle repris sa place dans le cercle et observa la suite des cérémonies, souriant de voir Jazon mettre tant d'application dans ce qu'il faisait, et jetant un regard tendre vers le fils et l'épouse de ce dernier... quelle belle famille ils formaient tous les trois!

Bientôt ils fêteraient la Samain, elle aurait aimé pouvoir le faire avec le père de sa fille, mais même cela leur avait été à jamais ôté. Elle ferma les yeux, il fallait oublier, aller de l'avant, elle le savait heureux et après tout, c'était sans doute le plus important.

D'une voix douce, à peine audible, elle se mis à chanter en même temps que la grande prêtresse, berçant Maïa presque inconsciemment:

Nous allumons aujourd’hui ce feu

En présence des Dieux

Sans malice, sans jalousie, sans envie

Sans rien craindre sous le Soleil

Hormis les Dieux Très-Hauts.

Nous t’invoquons, ô Lumière de vie.

Sois pour nous une brillante flamme

Sois une étoile scintillant sur nos têtes

Sois un clair sentier sous nos pas.

Embrase-toi en nos cœurs

Flamme d’amour pour le prochain,

Pour nos adversaires, nos amis, nos parents, nos semblables,

Pour tous les hommes sur la vaste terre,

Ô gracieux fils de Cerridwen,

Du plus petit vivant Jusqu’au Nom le plus Haut

Novice Nombre de messages : 226 Date d'inscription : 18/08/2008

Phyla ecouta les paroles de la grande pretresse et les rechercha dans sa mémoire...
Mais ce ne fut que la mélodie de cette chanson qu'elle reconnu...
Elle écouta essayant de mémorisé les mots

Quand les premiers rayons du soleil illuminèrent la clairière, la Grande Prêtresse salua l'astre du jour:

Ô Soleil, arme-toi pour conquérir les Ténèbres !

Gandelin ne vit pas se lever le soleil. En effet la fatigue de cette longue journée de découvertes et d'émerveillement, ainsi que la longue nuit de festivités, avaient eu raison de la vitalité du jeune Duchesne. Il s'était blotti dans la cape de sa mère, près du feu, dormant du sommeil du juste.

Nombre de messages : 63 Date d'inscription : 04/12/2008

C'est au pied d'un chêne magnifique que je me réveille, j'ai du m'assoupir lors de la célébration, je me rappelle, la prêtresse chantait avec les jeunes novices, un léger vent dans ses cheveux, l'allumage du feu qui continu de bruler doucement.
Le soleil se lève, dame Yvonne est là, debout, face à lui, les bras ouvert, parlant à je ne sais qui.
Je me lève.

Bonjour!

La célébration officielle terminée, YvonneTroll se tourna vers les personnes qui avaient partagé cette nuit: Elle eut un sourir pour son filleul, endormi dans les bras de sa mère, un regard curieux pour une jeune fille qui se tenait à l'écart - elle était arrivée au milieu de la nuit - et enfin, la jeune femme qui vient de se réveiller et qui dit " Bonjour !"

Bonjour, vous vous nommez atalante, n'est-ce pas ? Qu'est-ce que vous êtes venue chercher à Avalon ?

Bien sur qu'il allumerait le feu Jazon, et c'est ce qu'il fit en suivant les instructions d'Yvonne. Faisant trois fois le tour du bucher avant de l'enflammer. Et Gandelin de ses yeux arrondis suivait les flammes grandissantes et sourit de bonheur en sentant la chaleur parvenir à lui.

Etrange sensation à un moment, comme l'an passé. Comme un souffle, un courant d'air dans les arbres qui attirent l'attention. Mais rien ne bouge. Sans doute l'imagination portée par les belles paroles d'Yvonne se laisse-t-elle aller à toute fantaisie.

Oui, soleil naissant, arme toi et va conquérir les ténèbres. Et celles derrières les brumes d'Avalon, ne les oublie surtout pas, eut envie de rajouter Gypsie. Là bas on y plonge, on y saute à pieds joints dans le noir. Si seulement les hommes là bas pouvaient voir l'astre du même oeil qu'ici.

Gandelin avait loupé la fin de la cérémonie, mais il lui en restait encore à voir. Un mariage, et son baptême. Gypsie le laissa dormir encore, et sourit à son époux près d'elle. Juste un murmure " Je t'aime ".

Tirée de cette douce quiétude par le bonjour d'Atalante et la voix d'Yvonne. Qu'était-elle venue chercher ici, que viennent-ils tous chercher à Avalon. Pour Gypsie s'était la paix, la sérénité, la tranquillité et cette impression de bien être qui l'envahissait chaque fois qu'elle posait un pied sur l'ile.

Nombre de messages : 173 Date d'inscription : 25/02/2008

Les chants avaient continué, le feu allumé par Jazon rapprocha les gens qui profitaient de sa chaleur, de son magnétisme. Chacun avait trouvé une place confortable pour continuer la nuit, entre le sommeil et l'éveil, une sensation de chaleur, de famille réunie, de bien-être.

Les premiers rayons du soleil la firent frissonner légèrement, la nuit avait été humide et leur chaleur timide lui fit remarquer qu'elle se pelotonnait enroulée dans sa cape. Les bras de son tendre lui manquaient et le rire de son fils aussi mais elle n'avait pas rejoint le monde de l'autre côté des brumes depuis quelques temps déjà. Opus était parti en retraite emmenant au calme son fils Winbill et elle les savait en confiance. Elle le ressentait, ce rapprochement entre son fils et son père adoptif ne pourrait que renforcer le lien de leur complicité.

Elle s’étira longuement en souriant et entendit son estomac gronder… Elle posa sa main sur son ventre espérant que personne n’avait entendu…

Nombre de messages : 63 Date d'inscription : 04/12/2008

Bonjour, vous vous nommez Atalante, n'est-ce pas ? Qu'est-ce que vous êtes venue chercher à Avalon ?

Qu'est ce que je suis venue chercher ici, belle question, moi même je ne le sais pas. Comment lui répondre à cette femme, elle à un regard perçant, comme si elle voyait en nous.

Oui, je me nomme Atalante, et, ce que je suis venue faire ici, et bien, c'est vous voir, pourquoi, ça je ne le sais pas, mais mon cœur m'a guidé vers vous.
Je suis une jeune aspirante de l'ordre de la Dame Blanche, ordre qui si j'ai bien compris les discussions des plus anciennes était avant la guilde des amazone dont vous faisiez partie et qui vous protégeait à l'époque.
J'ai eu vent de votre connaissance en écoutant les plus anciennes à la commanderie lorsque le soir, elles se remémorent entre elles le passé quand elles étaient à vos coté, il leur semblaient à ce qu'elles disent que rien ne pouvaient alors leur arriver.
Aussi, j'ai entendu dire que vous étiez à Montpensier, dans un jardin, celui de Birgit, depuis peu, j'habite Montpensier, j'ai visité ce qui reste de ce lieu, la douce Amazone, dame Ladyblueyes veille dessus, mais malgré ses efforts, il à perdu sa vocation première.
Voyez vous, je me cherche en fait, moi, mon histoire, ma vie, mon père en particulier, car pour ma mère, la pauvre est morte le jour de ma naissance.
L'on m'a dit que vous aviez une grande sagesse et de bon conseils.

Avec ce que je viens de vivre depuis que je suis arrivée ici, sur votre ile, je suis sur que vous êtes la personne que je cherche.

Alors que je parle, les autres personnes présente sortent de leur léthargie, regarde le soleil qui viens nous saluer.

La Grande Prêtresse lui adressa un sourire:

Vous savez qu'une de nos prières se termine avec ces mots:

Et pour vous qui me cherchez, sachez
qu’à moins de connaître le mystère, si vous ne cherchez pas en vous, alors vous
ne trouverez rien en dehors. Car j’ai été avec vous depuis le commencement et je
me tiens au bout du désir.

Soyez donc la bienvenue et l'invitée de la Déesse le temps qu'il vous faudra pour trouver votre réponse !

Donc, au sein de la guilde, on se souvient encore de moi ? Ladyblueeyes est une vieille amie, c'est vrai, et le jardin de Birgit a été le lieu de toutes nos cérémonies, jadis. Chaque fois que j'entends parler de l'ordre de la Dame Blanche, je ne peux m'empêcher de rire: elles ont abandonné le nom des "amazones" trop lié à l'image du culte de la Déesse et elles ont choisi ce nouveau nom, ignorant pour la plupart d'entre elles qu'un des noms de la Déesse est justement "la Dame Blanche" !

Novice Nombre de messages : 138 Date d'inscription : 15/05/2008

La face ronde et lumineuse de Lugh perça les ténèbres pour lancer ses pâles rayons sur la terre qu'il ne parvenait pas encore à réchauffer.
Quelques oiseaux commencèrent à chanter comme pour le saluer, la nature peu à peu s'éveillait elle aussi et la rosée renvoyait la lumière naissante, faisant étinceler l'herbe tendre qui couvrait déjà la terre de l'île des prêtresses.

Sibille à ses cotés semblait avoir froid, il faut dire qu'elle était un peu plus éloignée du feu qu'elle ne l'était elle-même, et Maïa, qui depuis bien des heures déjà s'était endormie tout contre sa mère, la réchauffait plus surement que n'importe quel feu.
Emmitouflée dans une peau d'agneau et tenue serrée contre sa mère, grâce à la pièce de lin qui la maintenait, la fillette ne risquait pas d'avoir froid malgré la température encore fraîche de ce début de printemps.

Elle écouta d'une oreille distraite la conversation entre Dame Yvonne et Atalante la guerriere, souriant à la dernière remarque de la grande prêtresse. La mère revêtait bien des visages et portait bien des noms, mais partout elle étendait sa main protectrice sur la terre et les femmes qui lui ouvraient leur coeur.

Tout en étant à sa conversation avec Atalante, elle chercha du regard la jeune fille qui était arrivée au milieu de la cérémonie. Ne la voyant pas, elle se tourna vers les autres:

Je vous conseille de prendre un peu de repos et de vous restaurer à la maison d'hôtes ou à la taverne. Et à midi, nous nous retrouvons ici pour célébrer l'union de Caer et Aengus.
Caer, comme vous n'avez pas de maison sur l'île, venez donc à la Maison des Novices une heure avant la cérémonie ; les femmes d'Avalon seront vos sœurs et mère aujourd'hui !

Nous nous étions fait discrets, un peu impressionnés par l'ambiance, particulière de l'endroit... Cette solennité tranquille semblait sortir d'un autre âge..;nous étions bien loin des turpitudes des Royaumes.
D'un regard échangé furtivement, Caer et moi comprenions que notre place n'était plus là-bas... Une fois mariés, il nous faudrait prendre une décision. Cela semblait inéluctable, mais, je n'en ressentais qu'un grand soulagement.

Les dernières paroles de la Grande Prêtresse achevèrent de nous tirer de cette douce torpeur. Je la remercii d'un signe de tête discret mais respectueux et, prenant ma douce par la main lui murmurai, non sans émotion :

- Viens, ma Mie... je crois que le moment approche.

Nous nous levâmes et, lentement, le coeur battant d'une émotion fébrile, nous nous dirigeâmes vers la Maison des Novices.

J'avais écouté et regardé attentivement la cérémonie qui se déroulait sous mes yeux... une grande sérénité nous habitait tous les deux, Aengus et moi... J'avais à la suite de tous le monde jeté une graine tout comme Aengus dans le sillon creusé en murmurant la prière :

Bénissez ces graines afin qu'elle puissent sortir de la sombre terre et s'élever vers le soleil, complissant ainsi le cycle de la vie pour nourrir vos
enfants !

Dans mon cœur, il y régnait plein d'émotion qui arriva à son comble lorsque la grande prêtresse d'aller prendre du repos avant qu'elle nous unisse.

Lier ma vie à celle d'Aengus, ainsi mon vœu le plus cher allait être réalisé. Aengus glissa sa main dans la mienne et m'entraina vers la maison des novices...

Je ne pu qu'approuver ses dires, tant une boule d'émotion se formait dans ma gorge... mes yeux étaient sans aucun doute brillants et je me retrouvais telle une jeune fille lors de son premier rendez-vous amoureux...

Oui, mon cœur, Allons-y...

Ces mots avaient été prononcés si doucement que je ne sais si Aengus les avaient entendus... mais déjà, nos pas nous emmenait vers notre destin, vers cette maison. Certes, je n'aurais pas personne de ma famille à mes côtés pour cet évènement mais déjà je me sentais appartenir à la grande famille d'Avalon et c'est confiante, amoureuse que nous parcourions les quelques mètres nous séparant de cette maison.

Le jeune couple parti, elle aperçut à nouveau la fille qui était arrivée au milieu de la nuit. Elle s'approcha d'elle et la salua:

Bonjour jeune fille, je constate une fois de plus que vous êtes bien plus nombreux à trouver un chemin à travers les brumes que je croyais; car je ne pense pas te connaître. Bienvenue à Avalon !

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 27/03/2009

restant légèrement en retrait elle avait pourtant suivit la cérémonie, son émotion toujours tenace lui étreignait le coeur laissant une boule dans sa gorges. pourtant elle se sentait bien faisant le vide d'elle de toute cette tension accumulé ses derniers mois. la nuit avait passé et l'aube rose se leger lentement tirant avec elle le soleil dont les premiers rayon caressèrent son visage. elle ferma les yeux, savourant cette instant comme si elle était seul écoutant le pépiement des oiseaux se réveillant gaiement. le vent bruissant dans les branches. qu'elle aimait ses instants, une larme glissa le long de sa joue elle ne chercha pas à l'écraser unique goutte de rosée glissant sur sa joue nacrée...

Bonjour jeune fille, je constate une
fois de plus que vous êtes bien plus nombreux à trouver un chemin à
travers les brumes que je croyais; car je ne pense pas te connaître.
Bienvenue à avalon

une voix prés d'elle lui fit rouvrir les yeux. levant la tête elle reconnue la grande pretresse et se releva précipitament.

bonjour... , elle rougit ne sachant pas comment l'appeler puis poursuivit.
je n'osais espèrer trouver un jour le chemin au travers des brumes, bien que l'ayant cherché,... merci de votre accueil, je suis Nefi, nous ne nous connaissons pas en effet.

Alors il est temps de faire connaissance: je suis YvonneTroll, la Grande Prêtresse d'Avalon. Et toi, comment tu t'appelles et qu'est-ce que tu es venue chercher à Avalon ?

J'avais laissé ma douce Caer entre les mains bienveillantes de Dame Yvonne et de ses Novices...
Avant de nous séparer, nous avions échangé un long regard dans lequel pétillaient des myriades d'étoiles...
Je me retins d'embrasser ma promise malgré un élan d'amour irrépressible. Je voulais la laisser aller se préparer vierge en quelque sorte... pure, afin que notre amour intact puisse éclater au grand jour après la cérémonie.
Je restai donc là... un peu maladroit et esseulé... J'ignorais tant de choses des cérémonies en Avalon.
Confiant cependant, je laissai donc mon destin aux mains des habitants de l'Ile Sacrée.
Je regardai donc s'éloigner la tendre silhouette de mon aimée avec un soupir d'aise et un sourire de bonheur aux lèvres.
Je retournai m'asseoir auprès des braises mourantes en attendant impatiemment le retour de ma belle et la cérémonie qui allait unir nos vies.

Jazon s'apprétait à se rendre avec femme et enfant au village pour prendre un peu de repos.
Les novices avaient quand à elles emmené la future mariée mais son fiancé s'asseya près du feu, regardant sa douce s'éloigner et ne sachant quoi faire.

Jazon aida Gypsie qui tenait leur fils dans les bras, à se lever.
Baiser donné à son épouse, caresse de la main sur la tête du bambin dormant.
"Gypsie, vous avez besoin de repos, Gandelin et toi ! Je vous rejoins à la maison des hôtes."
Il les regarda s'éloigner.

Il se tourna vers le jeune homme et s'approcha de lui.
"Aengus, je crois ?
Moi c'est Jazon.
Je crois que votre douce amie va en avoir pour un moment, vous savez. Et quand le soleil se lève, le froid fait rage à cette époque de l'année.
Si vous m'accompagnez au village.... ?
Vous pourriez prendre un peu de repos et vous rafraichir, voire même......"

Il porta la main à son estomac.
".... nous restaurer ! Il nous faut prendre des forces !"

Perdu dans mes pensées, je n'avais pas vu Jazon s'approcher.

"Aengus, je crois ?
Moi c'est Jazon.
Je
crois que votre douce amie va en avoir pour un moment, vous savez. Et
quand le soleil se lève, le froid fait rage à cette époque de l'année.
Si vous m'accompagnez au village.... ?
Vous pourriez prendre un peu de repos et vous rafraichir, voire même......"
Il porta la main à son estomac.
".... nous restaurer ! Il nous faut prendre des forces !"

Vivement, je levai la tête et sautai sur mes pieds, comme un enfant surpris en faute :

- Euh... oui...c'est cela...Aengus, Mess... euh Jazon... Enchanté... Pardonnez-moi, je suis un peu perdu en ce lieu. Votre sollicitude lme touche.
- Et, à la réflexion, ajoutai-je en souriant, je me rends compte que, en effet, je meurs de faim. Je vous suis donc bien volontiers.

Jazon avait surpris le jeune homme qui se leva vivement.
- Euh... oui...c'est cela...Aengus, Mess... euh Jazon... Enchanté... Pardonnez-moi, je suis un peu perdu en ce lieu. Votre sollicitude me touche.

"Ne vous inquiétez pas Aengus."
Jazon lui mit la main familièrement sur l'épaule.
En ce lieu, il n'y avait plus de titres, de grade ou de statut social. Tous étaient des enfants de la grande déesse. Tous se respectaient au seul titre d'humain, ou plutôt de frères et soeurs.
"Ici, il faut se laisser porter, ne pas réfléchir mais écouter ses sens, ses émotions et son coeur. Lacher prise, quoi.... !!!
Venez !
Je vous emmène à la maison des hôtes. Ma femme et mon fils viennent de s'y rendre. On doit avoir quelques heures d'ici midi pour se reposer et s'appréter pour votre union."

Il lui fit un clin d'oeil rassurant et complice.
Sans le connaitre, cet homme lui plaisait.
Il l'entraina en direction du village vers la maison des hôtes.

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 27/03/2009

Alors il est temps de faire
connaissance: je suis YvonneTroll, la Grande Prêtresse d'Avalon. Et
toi, comment tu t'appelles et qu'est-ce que tu es venue chercher à
Avalon ?

nefi lui sourit.

je me nomme nefi squire, je viens d'artois, mais suis native de normandie. j'ai depuis l'enfance était élevé en écoutant les légendes sur la grande déesse. ma mére me les comtées à demi mots, alors qu'elle m'enseignait le pourvoir des plantes, et les secrets de remédes... mais si j'ai des dons de guerrisseuse dont je fais profiter mon prochain, il me reste un vide de mes origines, de la provenance de mes connaissances... tant de question sont resté en suspends auquel ma mére n'a voulu répondre... j'ai des souvenirs trés lointain de cérémonies similaire à celle de cette nuit mais n'en ai jamais eu les secrets car trop jeune alors... puis plus rien. ou du moins pas a ma connaissance à partir du moment ou ont ma fait entrer dans une église. mon enseignement des simples à continué. mais l'existance d'avalon ne ma plus était raconté. et mes questions éludées...

de nombreux souvenir lui revenaient à mesure de ses paroles puis elle se tut...

Quel est donc ton souhait, Nefi ?

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 27/03/2009

à cette question elle resta muette un instant, que cherchait elle en fait ça vie était bien remplit, elle avait deux merveilleux enfants, un époux aimant, et pourtant... elle voulait transmettre son savoir a sa fille comme toute les femmes de sa famille, mais alors qu'elle doutait elle même comment répondre a ses question d'enfants. tant de choses lui était encore inconnue lui semblait-il... elle avait comme un sentiments de ne pas être entière, qu'une part d'elle était resté en suspends quelques part.

j'aimerais renoué avec les croyance de mes aïeuls, connaître la grande déesse,... je ressent sa présence en toute choses, surtout quand je vais seul collecter mes plantes, ou à l'instant quand avant que vous ne veniez me rejoindre...
oui j'aimerais renouer avec la grande déesse.

elle espéra soudain que sa demande ne soit pas trop saugrenue. il était parfois difficile de transcrir par la parole les sentiments qui nous habite

Alors, sois des nôtres pour la journée et nous reparlerons de ton avenir demain. Suis-moi à l'école des novices, nous avons un mariage à préparer !

» Ostara