Boire un petit coup

Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 28/05/2007

Arthur la regarde, puis sourit à l'aveu de ce modeste péché.

"Ma Dame, je veux bien vous considérer comme gourmande, certes, mais affreuse, non jamais."

Il s'incline devant elle.

" Ma foi, si tel est votre bon plaisir..."

Il lui sert deux verres, l'un de champage et framboises, le second de pêches et champagne.
Il sert à Claudicus un verre également, puis à son tour, se verse un mélange pêches et champagne.

Puis, s'asseyant à la table ainsi garnie, il demande à Oya.

"Alors,Ma Dame, est-ce indiscret de vous demander la raison de votre séjour en l'Ile?"

Prêtresse Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 28/01/2006

Claudi ne perd rien de la conversation, à la vue de la bourse bien pleine de Messire Pendragon, elle soupire d'aise et de soulagement, il n'est donc pas un brigand venu piller sa maigre réserve.
C'est que les temps sont durs pour elle sur l'île depuis que celle-ci est désertée.
Et puis Oya, restera toujours dans son coeur, sa soeur donc les amis de ses amis sont dignes de confiance.

-- Laissez donc, Messire, c'est ma tournée, et c'est moi qui vous remercie de faire un peu revivre la taverne d'Avalon.
Oya, quelles sont les nouvelles, et ton mariage devant Yvonne et la Déesse sont ils toujours d'actualité?
Je gouterai bien aussi à ces merveilleux mélanges que vous nous proposez, Messire.
Mais je cause, je cause et vous empêche de continuer votre conversation allez y donc, ne faites pas attention à moi.

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

Elle rougit, l'air un peu embarrassé devant la question de Claudi.. ses yeux s'éteignant un bref instant

Mon mariage? je t'en reparlerai Claudi.. mais viens te joindre a nous.. goûtons aux heureux mélanges que nous propose Messire de Pendragon..

Elle sourit a son amie, lui montrant une place a la table, puis prit le verre aux colorations rosés qui était devant elle...

Voila Messire Arthur.. je goûte.. commençons par les framboises

Elle huma le liquide, parfum de framboises se mêlant a celle du champagne, sourit, puis y trempa ses lèvres.. pris une gorgée, puis une deuxième.. regarda l'homme de nouveau..

J'ai bien peur de trop aimer ce nectar Messire.. je risque de le boire comme je boirais un jus de fruits... mmmm goûte aussi Claudi.. c'est trop bon..

Prêtresse Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 28/01/2006

Claudi scruta Oya, elle avait l'air préoccupée et elle respecta son silence sentant que le mariage était reporté mais elle ne se fit pas prier pour gouter le breuvage divin elle trempa ses lèvres dans le nectar mais pas goulument comme à son habitude, plutôt délicatement juste pour gouter.

-- OUI, je suis devenue très sage, ces derniers temps vis à vis de la boisson, l'enfant qui grandit en moi m'y incite et m'y encourage.
Besoin de te resourcer à Avalon, Oya ?
je sais que les affaires du royaume sont souvent lourdes à gérer pour nous toutes.

Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 28/05/2007

Arthur, d'un calme minéral, écoutait la conversation des deux femmes, visiblement amies.
Le mot mariage lui fit lever un sourcil, mais il retomba dans la contemplation des bulles qui jouaient dans son verre.
Il sourit à la remarque de Dame Oya quant à ses préparations alcoolisées.

Puis il se leva calmement, toujours aussi silencieux, et s'en alla regarder par la fenêtre donnant sur l'Occident.

Se retournant vers les deux femmes, il leur demanda:

"Mes Dames, veuillez pardonner mon intrusion dans votre conversation, si privée,mais saviez-vous qu'autrefois, non loin d'ici, les légendes celtes nous rapportent que vivait un Dragon, au souffle puissant?"

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

Elle regarda Claudi en souriant

Félicitations je ne savais pas.. donc une nouvelle petite dame ou un nouveau chevalier pour bientôt?

Son visage changea quand Claudi lui parla de la raison de sa présence sur l'île.. elle ne répondit pas, regardant le Sieur de Pendragon qui semblait un peu mal a l'aise..

Lorsqu'il se retourna vers elles pour leur parler elle lui sourit

Mais nous ne parlons de rien de trop personnel Messire, ne vous sentez pas exclu surtout.. Il y a longtemps que nous ne nous étions pas vu, il est vrai..

Parlez nous de ce dragon... j'adore connaître toutes ces histoires

elle avait maintenant l'autre verre dans sa main, elle y goûta avec le même plaisir que le précédent, curieuse d'entendre le récit de Messire de Pendragon.

Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 28/05/2007

« Madame, d’après d’anciennes légendes, le Dragon partageait sur cette Terre le pouvoir spirituel, avec la Déesse et Aristote.

Le Dragon était surtout renommé pour sa capacité à modifier le cours des vies humaines ; lorsqu’un mage puissant l’invoquait, son souffle parcourait les landes, et changeait ainsi la vie des hommes.

Nul oeil humain n’est assez acéré pour pouvoir l’apercevoir en son entier, da sa tête à la queue. Parfois, un éclat cuivré, dans les cheveux d’une femme, dans l’ombre d’un sous-bois, est révélateur de sa présence, d’une écaille mal dissimilée.

Pour ma part, j’ai eu affaire au Dragon, et j’en porte les séquelles, à jamais enfouies en moi.Mais ce sont sans doutes contes que ceci pour vous, et je dois vous lasser à parler ainsi. »

Arthur boit un peu de vin mélangé, et son regard se fait lointain.

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

Elle écoutait avec attention le récit du Sieur de Pendragon, rêvant a un dragon si puissant qu'il pouvait se glisser sournoisement parmi les humains sans qu'aucun n'ait même un soupçon de sa présence..

Elle frissonna... puis ramena son attention aux paroles du chevalier

Mais non mon Sire, continuez, vous ne me lassez aucunement, j'aime vous écouter.. mais ce dragon, il existe toujours? D'autres l'ont entrevu?

Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 28/05/2007

" Oui, ma Dame, il existe toujours, et ses sorts sont toujours actifs.J'en suis moi-même victime...depuis fort longtemps, si longtemps que ma mémoire ne pourrait plus vous dire exactement quand.
En ce temps, ma Dame, j'aimais, et j'étais aimé, du moins je le croyais"
Il cesse de parler, et boit une gorgée de champagne.

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

L'homme continuait de narrer son conte, captivant l'attention des deux femmes qui l'écoutaient, attendant la suite..

Oya avait l'impression d'avoir reculé le temps, se croyant presque a l'époque ou petite fille, assise dans la grande salle froide du château de son père, elle écoutait, bouche bée et yeux écarquillés, tortillant ses nattes noires entre ses doigts, ces hommes qui venaient parfois pour quelques jours demander abri et pitance. Et qui, pour remercier leurs hôtes, les divertissaient le soir a narrer contes et légendes. Quelques-uns, s'accompagnant d'un instrument, chantaient, d'autres ne faisant que raconter..

Lorsque Messire de Pendragon se désaltéra d'une nouvelle gorgée du vin pétillant.. elle s'étira, pris son verre, s'apercevant avec stupeur qu'elle avait tout bu. Le reposant elle hésita quelque peu.. il devait se faire tard et elle n'avait pas encore trouvé ou dormir cette nuit, ni mangé..

Elle se tourna vers l'homme en souriant

Nous vous faisons veiller Messire, a vous faire raconter le dragon.. Préféreriez-vous nous narrer la suite demain? J'y serai encore pour ma part

Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 28/05/2007

"Ma Dame, ce sera pour moi insigne privilège que de vous retrouver demain. Je manque à tous mes devoirs, et les mots que je vous narre me font oublier que vous venez d'arriver céans.
Vous devez être fort fatiguée, Ma Dame."

Il reprend armes et baudrier.

"Ma Dame, si vous dormez icelieu, permettez moi de veiller, et de protéger votre sommeil.
Moults dangers rodent, et je m'en voudrais toute ma vie s'il vous arrivait malheur"

Il renoue son baudrier en la regardant.

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

Elle sourit de le voir s'armer ainsi

Oui, je crois que je prendrai une chambre ici, dans cette auberge; mais nul besoin de me protéger de la sorte Messire.. s'il y a un lieu dans ces royaumes ou je me sens en sécurité, c'est bien ici.. a Avalon

Je peux Claudi? Ca ne te dérangera pas? S'il y en a une de prête pour moi bien sûre..

Prêtresse Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 28/01/2006

A la demande d'Oya, Claudi sortit de sa rêverie, elle était encore sous le charme de ce merveilleux récit du dragon et désormais ne regarderait plus de la même façon les chevelures des Dames.
Sur elle allait y chercher des écailles de dragon.

-- Mais bien sur, voyons Oya, tu es ici chez toi et je pense qu'après un aussi beau récit tu feras de beaux rêves.
Je monte préparer la chambre d'amis et vais te mettre une brique chaude dans le lit.

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

La grande salle de la taverne était vide.. comme le village croirait-on..

elle soupire.. balance son sac sur une table et furète derrière le comptoir.. comme souvent, elle a faim, finit par dénicher une miche de pain pas trop sec et la ramène avec une bouteille pas encore ouverte..

Une bouchée, une gorgée.. sinon rien ne passerait.. elle aurait du penser a amener de la nourriture, mais elle avait tant espéré retrouver des gens ici.. pourtant lors de la célébration en l'honneur de Scarlette on aurait pu croire.. mais il semblait que non.. encore une fois Avalon était déserté..

Le morceau de pain difficilement mais complètement avalé, elle termina tranquillement la bouteille.. regardant la salle.. repensant a la dernière fois qu'elle était venue ici, dans cette salle.. Elle pouvait bien se l'avouer maintenant.. c'était pour le revoir.. lui.. ce chevalier a la langue bien pendue.. lui qui lui narrait histoires merveilleuses de dragons et bien d'autres encore.. cet homme qui maintenant lui était devenu aussi indispensable que l'air qu'elle respirait... il n'était pas parfait pourtant.. qui l'était? Sûrement pas elle.. mais elle l'aimait.. c'était tout.. Elle l'avait laissé courant les routes.. cherchant pour elle-même un peu de calme.. un peu de temps pour réfléchir.. et ou aller sinon ici.. comme toujours.. ici, son havre de paix, ici si près de la Déesse, bien a l'abri dans ses bras.. comme ceux d'une mère, d'une amie a qui on pouvait confier ses tourments sans qu'elle ne les juge jamais..

Un nouveau soupir, un regard un peu incrédule envers la bouteille maintenant vide.. puis elle reprit son sac, monta vers les chambres, s'engouffra dans la première qu'elle vit puis s'affala sur le lit.. dormir.. dormir.. rien d'autre pour le moment

La Grande Prêtresse, comme attirée par magie, entra dans la taverne qu'elle savait néanmoins abandonnée et déserte. Une fois de plus, elle était restée plusieurs jours dans le pays des rèves et des fées: "Il faut que j'arrête ce genre de méditations, un jour je me réveillerai plus ... " dit-elle à voix haute. "Et maintenant, je parle aux murs !" Elle soupira et chercha une bouteille de vin dans la réserve de Claudi.

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

Une nuit de sommeil fort réparatrice, malgré la bouteille bue seule et probablement un peu vite..

Le soleil même si faible de ce mois de décembre lui fit ouvrir les yeux, un grognement de son ventre et elle était debout..

Première chose a s'inquiéter: trouver quelque chose a manger, sinon.. elle n'aurait plus qu'a repartir, quitte a revenir avec la barque pleine de victuailles.. mais avant, un tour des gardes manger.. ses soeurs avaient sûrement récolté autre chose que des herbes a la fin de l'été.. il lui suffisait de trouver ou elles avaient mis le tout..

Elle s'habilla promptement, fit une rapide toilette puis descendit les marches en courant.. sa bonne humeur revenue.. comme toujours quand l'île l'accueillait..

Elle passa rapidement dans la grande salle, réfléchissant a un endroit possible pour la cachette de nourriture. .mais la main sur la poignée de la porte.. une impression la fit se retourner.. puis un grand sourire éclaira son visage..

Ah.. mais tu es la Tata.. je croyais l'île déserte encore une fois.. tous partis retrouver ce monde si laid la bas...

Elle revint sur ses pas.. déposa son sac et embrassa son amie avec chaleur..

Je suis contente de voir qu'il n'en est rien.. et surtout contente de te voir.. et euh.. tu sais ou elles ont caché la nourriture?

Je pense que Claudi a encore quelques petites réserves dans sa cave; sinon viens chez moi, j'ai de quoi tenir l'hiver !

Tu sais, mon amie, je me demande si Avalon est encore réel ! Tous les jours, je pense que nous nous éloignons un peu plus des royaumes, les visiteurs se font de plus en plus rares; et j'ai beau lutter, cette île resemble d'avantage à un endroit hanté par les fantômes qu'à l'Avalon de ma jeunesse !

Qu'est-ce que j'ai fait, quelle erreur ai-je commise ?

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

Oya sourit en entendant parler des possibles victuailles de Claudi, mais son visage s'assombrit en écoutant la suite des paroles d'Yvonne...

Elle s'avança puis s'assit sur un tabouret aux côtés de son amie..

Ce n'est pas vraiment toi Tata qui a commis une erreur.. c'est la vie tout simplement.. et ça vaut pour nous toutes pas juste toi.. La vie en dehors de cette île demande une présence fréquente.. alors souvent l'île se retrouve délaissée.. sans personne pour accueillir les visiteurs ou les gens qui aimeraient y vivre même peut être..

Tu sais ce qu'il nous faudrait Tata? Une prêtresse gardienne.. une qui ne veut pas vivre dans ce monde si troublé.. une personne qui serait toujours ici.. prête a aider et conseiller et accueillir..

Ni toi, ni moi, ni Claudie ne pouvons le faire.. mais peut-être que je connais quelqu'un... tu me laisses y voir?

Ses yeux étaient devenus plus brillants.. oui.. elle tenait peut-être la solution.. la solution qui ferait revivre cette île..

Tu as peut-être raison .... Moi-même je suis trop souvent absente de l'île .... Si nous pouvons trouver une personne qui est prête à consacrer sa vie à cette tache ...

En attendant, j'ai un petit creux; il me semble qu'il y a un jambon suspendu dans la réserve ...

Accompagné de Dana, Barbu marche dans la rue du centre de l'ile.
Les maisons sont closes, seul le bruit des oiseaux romp le silence.....
Tiens une porte ouverte, celle de la taverne, peut etre que Yvonne y fait un brin de ménage, leur aide sera surement la bienvenu....

Voyez demoiselle Dana, la taverne est ouverte, allons voir, je pense qu'elle doit y etre......

Barbu entre en premier, une feme leur tourne le dos, les cheveux noir, long.....il les reconnaitrait entre mille.........elle est là elle aussi, l'appele de l'ile surement......mais Yvonne n'est pas la.......
Que faire.....elle ne les a pas encore remarqué, sortir sans faire de bruit, peut etre, voir surement, elle ne veux pas le voir ou forcer le destin et lui dire bonjour...........oui, c'est cela, apres tout, il peu bien lui parler, ça ne fait pas de mal, et surtout avoir des nouvelles de Pierre.

Il s'approche doucement........

Bonjoir belle et douce dame...........comment allez vous?

Son bouquet a la main, mais il n'est pas pour elle pour une fois.

Yvonne est elle ici?

Du bruit dans un epiece annexe, puis une femme apparait, un jambon a la main....voila la grande pretresse tant recherchée......

Barbu sourit

Bonjoir grande pretresse, je suis content de vous voir en bonne forme et avec de l'appétit.

Bonjour mon ami ! Votre visite me fait vraiment plaisir ! Vous venez à temps pour partager notre repas. Mais je vois que vous n'êtes pas seul ...

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

Un jambon? Oui.. belle idée Tata...

elle n'eut que le temps de répondre que la grande prêtresse était disparue dans la porte du garde manger..

Un son derrière et puis une voix.. elle sursauta en la reconnaissant. .puis se tourna vers le nouvel arrivant.. les nouveaux, ils étaient deux.. Elle essaya de se composer un visage normal...que faisait-il donc ici? Mais bon il avait le droit lui aussi.. Elle sourit à la jeune femme qui l'accompagnait, ne la connaissant pas

Bonjour Madame, enchantée.. Je m'appelle Oya . .euh.. Bonjour Barbu

Yvonne revient avec le jambon, lui épargnant la peine de continuer la conversation.. Elle hésitait entre se sauver a toutes jambes ou continuer comme si de rien n'était. .elle n'avait pas envie d'une autre scene. .haussant les épaules, elle se leva de son tabouret

Je vous laisse parler a Yvonne.. c'est sûrement la raison de votre présence.. se tournant vers son amie elle lui sourit mais reprend son sac..

Je t'expliquerai mieux mon idée Yvonne, pour tout de suite, je vais voir si je peux retrouver cette personne pour te l'amener et te la présenter..

Aurevoir Madame. .que la déesse vous offre sa paix en ces lieux.. Barbu.. elle le salua d'un signe de tête puis se dirigea vers la porte..

Yvonne voyait avec tristesse la réaction de son amie face à celui qui, un jour, lui avait été l'être le plus cher au monde et qui restait malgré toutes les souffrances qui les separaient aujourd'hui, le père de son fils. Elle soupira: Oya ne lui avait pas laissé le temps de répondre qu'elle était déjà partie. Elle se tourna à nouveau vers Barbu:

Comment allez-vous et quelles sont les nouvelles ? Mais avant tout, présentez-moi la jeune femme qui vous accompagne.

Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 28/05/2007

Il ouvrit la porte brutalement, et allait s'engouffrer dans la taverne lorsqu'il vit Oya qui s'apprêtait à en sortir.

"Bonjour mon amour, tu es respendissante d'énergie ce matin!
Pour ma part, je suis pétri de froid, bien qu'ayant fait chemin à vive allure!
Y a t-il du monde dans la taverne?"

Sans attendre la réponse, il la prit dans ses bras et l'embrassa longuement et amoureusement.

Nombre de messages : 107 Date d'inscription : 17/02/2006

La porte s'ouvre a la volée.. Arthur.. décidément aujourd'hui.. Quels donc étaient les desseins de la déesse? Elle se retrouve dans ses bras, répond a son baiser oubliant un peu l'endroit mais surtout les personnes autour.. un jour sans lui, une nuit étaient toujours trop longs.. puis elle repense a l'homme qui est derrière elle.. puis a cette espèce de guerre, muette souvent, que les deux hommes se livrent depuis des mois maintenant.. elle recule..

Bonjour mon cœur…Du monde? oui.. quelques uns.. mais je partais malheureusement..