Boire un petit coup

Il sourit, et la serre un peu plus dans ses bras.

"Mon amour, nous partons dès que tu le souhaites,mais avant, permet-moi un vin chaud avec des épices, je suis gelé !"

Ils pénètrent plus avant dans la taverne, et ses yeux s'habituant à l'obscurité, il distingue mieux les occupants.....
Yvonne,Barbu, et une charmante jeune femme.

"Bonjour à tous.
Yvonne, toujours un plaisir de te voir plongée en de profondes pensées. Jeune Dame, enchanté, Arthur Pendragon, à votre service.

Sire Barbu, c'est un plaisir de vous retrouver en féminine compagnie céans."

Il s'incline devant les deux femmes.

Il allait pour lui demander de ses nouvelles, et celle de leur fils, mais déja, apparament génée par sa presence, elle veut s'en aller....qu'elle fasse, ce n'est pas elle qu'il est venu voir.
Yvonne réaparait, souriante.
Barbu lui répond par un sourire....puis, il s'avance vers elle, lui tend le bras.

Tenez dame Yvonne, un bouquet sommaire certe, mais plein de jolies couleurs de l'hivers.
Ha, la jeune dame ici est damoiselle Dana, apparament, c'est vous qu'elle vien svoir également, je l'ai trouvée devant votre porte..........

Un bruit, Oya sort, mais une autre presence......barbu jette un oeil.....
Elle est dans les bras de l'autre.......non, jamais il ne s'y habitura a cela.
Arthur qui reviens à Avalon, pour longtemps? surement que non, Oya s'en va...

Sire Barbu, c'est un plaisir de vous retrouver en féminine compagnie céans.

Hé bien le plaisir n'est qu'unilatérale.........

Reviens à Yvonne.....

Bien, me voici pour quelques temps, comme promis la derniere fois que nous nous sommes rencontré.

Arthur éclate de rire.

"Messire Barbu, un plaisir unilatéral ! Mais celà se nomme différemment en ce cas ; toutefois la bienséance des lieux m'interdit de l'évoquer, surtout devant cette charmante jeune compagne qui est avec vous."

Se retournant vers Oya.

"Mon aimée, je bois ce vin chaud, et nous partons, si tu en es d'accord.
Ma chère Yvonne, sans doute à une autre fois, qui sait!"

Arthur s'incline.

"Messire Barbu, quand je nargue pour reprendre votre expression, je le fais à voix haute, pour ma part.
Voici des mois que partout vous pensez bien fort, des pensées souvent fort nauséabondes, d'ailleurs.
Vous ne récoltez donc désormais que ce que vous semez depuis longtemps, vous refusant à admettre une vérité pourtant fort simple.

Ceci étant,Messire, je ne saurais trop vous conseiller de continuer à penser, car lorsque vous passez dans le registre de l'expression articulée, j'avoue que souvent la teneur de vos propos me navre."

Après avoir salué Messire Arthur avec un sourire courtois,elle avait écouté leur altercation sans parler.
Elle ne voulait de tort à personne et commençant à se prendre d'affection pour le Duc Barbu elle posa sa main sur son bras dans un geste d'apaisement.Légèrement mal à l'aise de s'opposer,elle dit:
"S'il vous plaît messires,je sais que je ne devrais pas trop m'en mêler, mais nous sommes en ce lieu pour nous reposer et non nous quereller,il vaudrait mieux se calmer ou continuer cette querelle ailleurs.J'ai à parler avec Yvonne,pourrions nous le faire dans le calme...je vous prie?"
Elle souriait faiblement mais gardait le regard haut et insistant vers Barbu.

Soit, je ne dirais plus que une réponse a se messire.....Bien, vous lisez dan smes pensées maintenant, vous etes bien plus fort que je ne le croyais.....Oui, une vérité fort simple, celle que vous , et vous seul m'avez trahis......Oya, je ne lui en veux pas, elle est libre de ses gestes comme elle l'a toujours été avec moi, et elle sait que je ne veux que son bonheur....
Mais vous, vous m'avez blessé au plus profond, vous réclamiez a Oya que je vous considere plus, que soit disnat j'etais mechand avec vous......je vous ais souvent soutenu a la chancelerie, vous estpoussé, mis sur l'avant de la scene, j'etais pres a vous faire un grand cadeau, vou annoblir, et la, vous, pour me remercier de cela, me faisant sourire par devant, vous faite quoi? Vous n'attendez même pas que ma femme et moi soyons séparé pour venir lui troubler l'esprit alors qu'elle etait en pleine reflexion sur notre couple, vous venez me "la voler " pour ainsi dire...........
Certe, si elle m'a quitté, c'est en grande partie de ma faute, je n'ai pas assez prit soin d'elle......

Dame Yvonne, avec tout le respect que je vous doit, je ne peut accepter votre offre, cet homme est trop fier de lui, trop plein d'arrogance pour que e mange a sa table, je ne lui ferais point cet honneur.
Alors pour que la paix règne ici, je m'en vais........au revoir Grande pretresse, si dieux le veut bien.

Ceci dit, Barbu tourne les talons et sort de la taverne, direction sa barque, il ne peut rerster plus longtemps en presence de cet homme.

La Grande Prêtresse avait du mal à garder son calme : Personne avait le droit de la défier de la sorte; c'est seulement en pensant à l'amitié qui la liait depuis longtemps avec Barbu qu'elle restait silencieuse. Elle garda l'espoir de le revoir très bientôt dans des circonstances plus paisibles, seule en tête à tête.

Elle prit une profonde respiration et se tourna vers Dana:

Bienvenue à Avalon, jeune fille ! Je pense même que nous sommes parents. Venez vous asseoir avec nous et dites ce qui vous amène à Avalon.

Après avoir regarder partir Barbu avec regret,Dana se tourna vers la Grande Prêtresse.
"Et bien pour commencer,je suis ici depuis que j'ai 11 ans,mais j'ai été assez discrète jusqu'alors.J'ai dû partir quelques temps, car j'entendis un appel venant de ma mère Éowyn, qui était parti d'Avalon pour je ne sais trop quelle raison.Cela prit un peu de temps avant que je la retrouve, mais lorsque ce fut fais,j'appris qu'elle était atteinte d'un mal inconnu.Je me crus capable de la soigner mais il n'en fut rien..."
Dana essuya une légère larme lui descendant sur la joue avant de reprendre:
"J'avais 16 ans,mais je n'avais pas encore assez d'expérience en matière de guérison pour soigner ce mal qui semblait totalement incurable.Je suis resté auprès d'elle 2 ans et je suis revenue ensuite à Avalon.C'est pourquoi maintenant j'espère en apprendre davantage en guérison et m'améliorer pour ne plus jamais feindre à la tâche de guérir ceux qui me porte le plus à coeur..."

Le tavernier vint la servir, elle commanda une grande choppe de lait bien frais... dans son état, elle ne pouvait plus boire d'alcool...

Elle resta là un moment, regardant les gens autour d'elle quand un pigeon lui arriva..


Sibille l’attrapa gentiment et lui donnant quelques graines pour le calmer prit à sa patte le petit mot…[/i]

Qui m’écrit ici ? pensa-t-elle…

Ah petit pigeon tu te nommes Hermès… Elle continua sa lecture, un sourire apparaissant sur ses lèvres. Elle lut avec avidité le parchemin s’étonnant au fur et à mesure de la lecture et si quelqu’un avait pu la voir, il aurait constaté que ses joues rosissaient.

Citation :

Dame Sibille

je vous envoie mon pigeon Hermès en esperant que le dieu des messagers guide son vol vers vous. Depuis que je vous est rencontré je ne cesse de pensez a vous. A chaque fois que je ferme les yeux votre visage angelique et votre sourire divin apparait.Mais ce n'est pas seulement votre beauté qui ma le plus ému mais votre courage. Vous allez seule affrontez les tourmant de la vie. Vous allez essayez d'elevez un enfant, de gerer votre exploitation agricole, votre metiez de meuniere et enfin votre activité de guerisseuse. Vous meritez une couronne de laurier. ce n'est pas Rolland et Alexandre que devrai celebrer les Chansons mais vous.Par moment j'ai pensez baissez les bras mais en pensant a vous, a votre courage j'ai continuez vous m'avez inspirez.Prenez mon Pauvre coeur en pitié et repondez moi je vous prit. Je vous aime
Mathieude turenne.

Elle relâcha Hermès.

Elle chercha bien vite un parchemin et une plume et se mit à écrire, profitant de la beauté du lieu pour chercher l’inspiration.

Citation :

Cher Mathieu,

C’est avec surprise mais plaisir aussi que j’ai reçu votre courrier. Vous faîtes un tableau de moi très élogieux… je n’ai malheureusement pas que des qualités et c’est surtout les aléas de la vie qui ont fait que je n’ai pas eu le choix…

J’avoue qu’il est agréable de savoir que vous me tenez en une telle estime mais je ne pense pas honnêtement le mériter… Je suis simplement heureuse d’avoir participer au fait que vous ayez le courage de vous battre aussi, je pense que vous êtes un ami qui m’est très cher…

Vous m’ouvrez votre cœur j’en suis très flattée. Vous savez ma situation actuelle et je vous demanderai d’être patient… J’aimerai apprendre à vous connaître et vous à me connaître aussi avant de pouvoir espérer repenser au grand amour…

Je vous tiens en très grande estime aussi et aimerai avoir d’autres nouvelles de vous en attendant mon retour…

Je vous dis donc à bientôt, que mes pensées vous accompagnent… Sibille.

Allez Athéna vole, retourne à Montluçon... La colombe partit à tire d'ailes

Cette nouvelle changea un peu son état de pensée... Elle se leva donc et décida de continuer ses flaneries dans les jardins d'Avallon..

Sibille revint des jardins un peu fatiguée, elle demanda au tavernier, si elle pouvait prendre chambre... on lui indiqua une jolie, propre et lumineuse au premier étage. Elle y passa une longue et merveilleuse nuit faîte de rêves agréables.

Athéna maintenant habituée à faire le trajet entre Montluçon et l’île, bien nourrie à chaque aller-retour allait de plus en plus rapidement… trouvant quelques raccourcis… se dirigeant à grands battements d’ailes vers Sibille.

Elle l’a trouva au petit matin… reposée, ayant passé apparemment une bonne nuit… Elle parlait même toute seule…

Quelle belle journée, le soleil rend tout merveilleux, j’ai fait de jolis rêves… des rêves prémonitoires peut-être… Elle s’arrêta de parler haut et fort et se mit à sourire en pensant à cette nuit…

Mais une chose lui revint à l’esprit assombrissant légèrement son humeur, la triste réalité… son amie Tam allait rejoindre sa dernière demeure, il lui fallait rentrer maintenant pour lui dire au revoir une dernière fois…

Elle vit à ce moment Athéna posée sur la fenêtre de sa chambre…

Oh ma belle tu es là… avec un petit mot… Le sourire revint sur ses lèvres et elle s’assit sur le bord de son lit pour lire le petit mot caressant d’une main sa colombe.

Citation :

Dame Sibille
Je ne vit plus que pour vos lettres. A chaque fois que je les lit j'ai l'impression de renaitre. Votre longue absence est une torture pour moi. Vous me manquez affreusement. j'espere a chaque fois une reponse a mes lettres jen mourrai si vous ne repondriez pas. Mes premières pensées le matin sont pour vous et les dernieres sont pour vous aussi. Votre visage m'apparait chaque nuit et est present a chaque moment de la journée. Je vous aimes.

Il pense à moi Athéna et il dit qu’il m’aime… est-ce que je dois faire confiance à nouveau à un homme ? à cet homme ? Elle regarda la colombe penchant sa petite tête blanche sur le côté… Elle la posa sur le bord de la petite table, lui donna quelques grains et prit sa plume pour répondre à Mathieu.

Citation :

Cher Mat,

Vous dîtes que vous pensez souvent à moi, je ne vais pas vous cacher que vous occupez une grande partie de mes pensées aussi… le jour quand je prend le soleil et que je vois la beauté de la nature, j’imagine vous tenir la main et profiter des alentours de Montluçon, la nuit lorsque
je me réveille, j’ose imaginer que je ne suis plus seule dans mon lit… et j’avoue que c’est un rêve fort agréable…

Je vais devoir rentrer pour accompagner mon amie Tamlyne à sa dernière demeure et ne serait peut-être pas si joyeuse que vous m’avez connu ; je pense aussi avoir pris avec mon repos beaucoup de poids… J’espère que vous m’accepterez telle que je suis et que vous tiendrez votre promesse d’être patient… et si je sens près de vous mon cœur battre aussi vite qu’il bat lorsque je reçois vos lettres, je pense que j’apprécierai en réconfort vos bras et votre amour… et que au fur et à mesure, la confiance aidant, je pourrai envisager laisser faire mes sentiments…

En attendant, je vous envoie par Athéna mes tendres pensées, celles du jour et de la nuit… Sibille.

Elle accrocha le message à la patte d'Athéna et après une dernière caresse, la laissa s'envoler par la fenêtre.

Il était temps pour elle de repartir.. une chose importante à faire... mais peut-être reviendrait-elle accompagnée... Cette simple pensée l'accompagna. Elle redescendit voir le tavernier, paya sa chambre et se dirigea à nouveau vers le bord du lac...

Phyla arriva devant la taverne elle était impresionnée
elle avait tant chercher et maintenant elle y était...
Dans sa cape lutins et Farfadets n'en menait pas large non plus
Ils était tous sous le choc du retour
Elle s'épousta un peu
Pris une longue inspiration et entra...

Bonjour, Je suis Phyladelphia et je viens d'arrivé aprés une trés longue errance...

Les petits etres ce dispercèrent dans la taverne fouinant partout comme à leur habitude

Bonjour Dame claudicus d'albury oui, je veux bien de votre biere
Excusez mes expressions... je ne sais comment vous nommé et quel sont les différantes étapes à suivre, s'il y en a...
Je suis trés maladroite ne m'en tenez pas rigueur

Elle regarda les petits etres et les repris à l'ordre en un simple "Chuuut"

Ils revinrent aupres d'elle...

Excusez les aussi... ils sont toujours aussi indisipliner